

Right, it makes more sense
Right, it makes more sense
AC units blackmarket about to blow up
Could MTG accidentally tackle climate change ? that would be amazing
That was wild
I’m okay with that payoff, heh
I love a short story with many twists and plays on literalism
I know what to expect from hexbears, but this is comically low, lol. what a little shit
I love this. So many twists
I don’t know it just doesn’t look like my thing. If I win I’ll probably do a giveaway
hah ! love my new title
Hennimooooooooore !!
J’ai découvert les médicaments à l’unité en Inde. Ça fonctionne très bien. Le seul argument contre c’est moins de sous dans la poche des compagnies pharmaceutiques
I’m just spreading the cheeks word
I have a memory of the most amazing ramen in Kyoto. It wasn’t perhaps the best around, and I don’t remember it being super sophisticated- but it came at just the right time. Winter. Cold drizzle and fog were upon us. We saw somebody exit this shop near us. When they opened the door, a cloud of steam blasted out and crystallized in the frozen air. We had to go in. Inside it was entirely wooden, a bit like you picture a mountain cabin. The atmosphere was foggy and the smell of broth so thick you’d swear you’d already started eating. I vaguely remember eggs, pork and onions. But the gist of this memory isn’t any one specific ingredient, it is the incredible warmth of that moment.
Maybe it’s not all there is…, but I think it’s at least a good starting point
ah I’ve yet to try the integrated ones ! Regarding the flow, I guess it should be controlled somewhere upstream
Plus jeune je trouvais la posidonie terrifiante. Avant même d’entrer dans l’eau je préparais mon itinéraire avec circonspection, repérant les tâches sombres qui témoignaient de sa présence. À l’eau, je m’efforçais de slalomer entre elles, jamais tout à fait serein. Lorsque -toujours par accident- je me prenais à surnager un herbier, mon corps entier se tendait : un frémissement indescriptible, reptilien, se diffusait depuis la base de mon cou jusqu’à l’extrémité de mes membres (qui étaient particulièrement vulnérables, naturellement de par leur grande proximité aux fonds marins). La panique s’emparait de tout mon être et je rejoignais le rivage tapant un crawl à reléguer Manaudou au petit bassin.
Je revenais presque toujours sur mes pas armé d’un masque. Alors, posté à distance raisonnable de l’herbier, je scrutais avec fascination ses ondulations dans le courant. Le mouvement était hypnotisant, impossible à circonscrire. Les milliers de brins composant l’herbier penchaient à l’unisson de gauche à droite, puis de droite à gauche. Mes repères sous-marins, déjà fragiles, étaient impitoyablement remis en cause par ce balayage. Une foule de petites créatures nageantes pénétraient le bosquet en permanence, sans jamais qu’on les voie reparaître.
Le regard ne pouvait avoir raison de la posidonie. Personne n’eut pu dire à quelle insondable profondeur se trouvait le sol sur lequel elle était arrimée.
Entre les herbiers d’un bleu profond, il y avait du sable ou des rochers. Les rochers les plus massifs me faisaient peur eux aussi, mais moins que la posidonie. Seuls ils étaient impressionnants : géantes masses inertes se dévoilant petit à petit au travers de l’atmosphère sous-marine, abris de chimères, projeteurs d’ombres. Mais il arrivait qu’ils soient posés au milieu d’un grand herbier- alors ils devenaient salvateurs. Au prix d’une courte concession à l’horreur, ils m’accordaient leur immunité.
Perché sur mon îlot, cerné de toutes parts, je pesais mes chances de subsister sur un régime d’arapèdes et de bigorneaux. Me revenait alors en tête cette réplique de Gattaca : “Je ne pense jamais au retour”.
In Fringe ? I agree if we’re talking about Xfiles, the monster episodes are unique and surprising.
Ah, both. It’s early, reading is difficult…
Perhaps she is powered entirely by her parasympathetic nervous system, brain included