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Cake day: June 15th, 2023

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  • La régie des transports parisiens a ainsi confirmé que, pour voyager dans le métro, le RER ou le funiculaire de Montmartre, seuls les bagages dont aucune dimension n’excède 75 centimètres sont autorisés. Cela correspond peu ou prou à la taille d’une valise cabine classique, celle que l’on prend sans supplément dans la plupart des avions. Les objets longs, comme des skis, sont tolérés à condition de ne pas dépasser deux mètres de hauteur et vingt centimètres de large, et uniquement s’ils sont tenus bien droits tout au long du trajet. Les poussettes sont admises, mais de préférence pliées, et leur accès dans les bus et tramways obéit à des règles encore plus strictes.















  • Une loi pour lutter contre les déserts médicaux mais qui représenterait un “danger

    Les quatre organisations partagent une conviction : “la coercition n’est pas une solution !”, écrivent-elles dans leur communiqué du 8 avril.

    Alors que la loi doit lutter contre les déserts médicaux, les étudiants en médecine s’opposent à cette contrainte, qui représente, selon eux, “un triple danger” :

    • "dans la lutte contre les déserts médicaux, à l’heure où le problème n’est pas la répartition des médecins sur le territoire [mais] le nombre ;

    • pour les patients et le système de santé, alors que plus de 4.580 communes ne pourraient plus accueillir de médecins supplémentaires, quand bien même ces territoires manqueraient cruellement de médecins [sans être reconnus comme déserts médicaux] ;

    • pour l’attractivité de la médecine ambulatoire, à l’heure où d’autres modalités d’exercices prospèrent et éloignent les jeunes médecins de la médecine ambulatoire."


    Que propose le projet de loi Garot ?

    La proposition de loi transpartisane du député socialiste Guillaume Garot a été déposée le 13 février à l’Assemblée nationale.

    Son article 1 vise à “flécher l’installation des médecins – généralistes et spécialistes – vers les zones où l’offre de soins est insuffisante”. Pour les zones mieux dotées, l’autorisation ne serait délivrée par l’ARS qu’en cas de départ d’un professionnel de la même spécialité.

    Par ailleurs, l’article 3 prévoit la mise en place d’une première année d’accès aux études de santé dans chaque département. Une mesure qui semble utile sur le fond, puisque les médecins s’installent de préférence là où ils ont grandi et là où ils ont étudié. Mais France Universités et les doyens de médecine estiment cette mesure “irréalisable sans moyens adaptés”.

    Quant à l’article 4, il “rétablit l’obligation de permanence des soins” ambulatoires et obligerait les médecins à participer à l’activité qui permet la continuité de l’accès aux soins, hors des heures d’ouverture des cabinets médicaux. Une proposition qui rencontre également une forte opposition.


  • Cross-sectional survey to investigate bicycle riders’ knowledge and experience of structural weakness in bicycles in Australia

    http://orcid.org/0000-0002-1814-0357Julie Hatfield1, http://orcid.org/0000-0002-5686-1729Soufiane Boufous1, Andrew Roman Novak2
    
    Correspondence to Dr Julie Hatfield; j.hatfield@unsw.edu.au
    

    Abstract

    Background Structural weakness may occur within bicycles (eg, during manufacture or impact) and may result in sudden failure and serious injuries. While some indicators of structural weakness may be detected by visual inspection, others require more advanced non-destructive tests. Available research is yet to adequately examine bicycle riders’ awareness and experience of the structural weakness in bicycles, or their knowledge and use of testing methods.

    Methods An online cross-section survey of 298 bicycle riders was conducted to address these knowledge gaps.

    Results 11.4% of respondents had experienced at least one crash that they suspected was due partly to structural weakness, with just over half resulting in injury and just under half involving costs greater than $A500. About 25% of respondents had a component replaced because of ‘failure during normal use’. More than one third did not think it was necessary to test for indicators or weaknesses when buying a used bicycle, or after a crash. Testing was most likely following motor vehicle collisions and for bicycles with carbon components. Visual inspection was the most reported form of testing and only 42% of respondents reported being aware of any non-destructive methods of testing.

    Discussion and conclusions 11.4% of respondents had experienced at least one crash that they suspected was due partly to structural weakness, with just over half resulting in injury and just under half involving costs greater than $A500. About 25% of respondents had a component replaced because of ‘failure during normal use’. More than one-third did not think it was necessary to test for indicators or weaknesses when buying a used bicycle or after a crash. Testing was most likely following motor vehicle collisions and for bicycles with carbon components. Visual inspection was the most reported form of testing, and only 42% of respondents reported being aware of any non-destructive methods of testing.

    Results suggest that structural weakness in bicycles is fairly common while awareness of the issue, and methods of testing for it, is limited. Public education about when and how to test for weakness (eg, after any crash), and improvement in production standards and quality assurance, may reduce injuries due to bicycle failure.


  • Pas exactement ça mais il existe :

    https://fondspresselibre.org/

    Le Fonds pour une Presse Libre (FPL) est un organisme à but non lucratif ayant pour objet « de défendre la liberté de l’information, le pluralisme de la presse et l’indépendance du journalisme ; contribuer à la protection du droit de savoir et de la liberté de dire à l’heure de la révolution numérique ; promouvoir un journalisme d’intérêt public, portant des valeurs humanistes, au service du bien commun et de l’égalité des droits, du rejet des discriminations et du refus des injustices » (Journal Officiel de la République française, 14 septembre 2019).

    Sa création repose sur la conviction qu’à l’heure des bouleversements induits par la révolution numérique, la liberté d’informer est sous la double menace de pouvoirs économiques et/ou autoritaires. Face à la concentration accrue des médias et à la perte d’indépendance économique des rédactions, le FPL veut aider au développement d’une presse libre, c’est-à-dire sans lien de dépendance vis-à-vis des intérêts privés et des autorités étatiques.